Coin musique

5 compositeurs qui m’ont emportée

« La musique est la langue des émotions », E. KANT

Ce week-end en écoutant un morceau, j’ai réalisé que je n’en avais jamais parlé par ici. Enfin si, j’ai parlé de musique, de flûte, mais jamais de ce que j’aimais réellement dans ce domaine (on sait qu’en parallèle, le métal symphonique fait aussi partie de moi, par contre. Entre autres, parce qu’il y a peu de styles de musique que je n’écoute pas). Si vous n’aimez pas la musique classique, vous n’allez pas être servis par contre ^^

Au fil du temps, en découvrant les compositeurs, leur période aussi, j’ai découvert mon penchant pour le baroque. Et s’il est italien, c’est encore mieux 🙂 Cela ne m’empêche pas d’aimer d’autres petits génies et de ne pas en supporter certains, dont Mozart (honte à moi ^^ mais il faut dire qu’il m’a torturée avec certains de ses morceaux que j’étais obligée de jouer, à l’école de musique. Déjà que je ne le portais pas dans mon coeur, là, il m’a achevée 🙂 )

Alors qui sont ceux pour lesquels j’ai un attachement particulier et que j’écoute le plus souvent…

1- Vivaldi

Si je devais n’en garder un, ce serait lui d’ailleurs. Mon petit chouchou. Le « prêtre roux », violoniste avec lequel, à peu près tous les instruments ont eu droit à un concerto. Il était complet (et ne s’arrête pas aux 4 saisons comme beaucoup le pensent, loin de là) dans ce qu’il faisait et je me demande souvent où il a trouvé toutes ces inspirations pour faire naître autant d’oeuvres. C’est le seul dont je me rappelle la date de naissance exacte en plus, parce qu’il est aussi né en 78… bon, on a juste 3 siècles d’écart mais c’est un détail ^^). Je me retrouve dans ses oeuvres. Dans les mouvements lents, il est capable de piquer des petites pointes et inversement avec ceux rapides qu’il ralentit parfois, du coup, il surprend celui qui écoute, parce qu’on ne s’attend pas à ce qu’il fasse ce changement. Je me dis parfois qu’il avait une humeur torturée… être calme et laisser pourtant sa « violence » s’envoler en plein milieu d’un mouvement même s’il est noté lent, il savait casser cette structure. Et le baroque a lui-même un côté un peu mélancolique, donc tout rassemblé, il ne pouvait être que mon petit chouchou aux multiples facettes, jouant avec les différentes clés comme si de rien n’était.

 

2- Marcello

Un copain de Vivaldi. Une affection particulière parce qu’il a écrit un concerto pour hautbois qui est l’instrument dont jouait mon papa et c’est lui qui me l’a fait découvrir, parce qu’il a la partition et que j’ai pris plaisir à le jouer (enfin tenter serait plus juste ^^). 

3- Dvorak

Loin d’être baroque et italien (sans blague ! ^^), il m’a embarquée malgré tout, avec sa symphonie du Nouveau Monde entre autres. Il avait une puissance en lui qui réveille tout en soi, c’est tumultueux et émouvant à la fois, déclencheur de jolis frissons. On arrive à vivre avec lui, ce qu’il a pu ressentir au moment de débarquer dans son « nouveau monde ». Neil Armstrong avait d’ailleurs emmener un enregistrement pendant la mission Apollon 11. Il allait marcher dans un nouveau monde, lui aussi 🙂 C’est symbolique pour les deux du coup et j’aime ce qui est symbolique pour les gens…

 

4- Saint-Saëns

Je l’ai découvert encore grâce à mon papa (oublié de dire que c’est grâce à lui et à sa propre passion pour la musique classique que j’en suis devenue moi-même amoureuse, c’est quelque chose qu’on a partagé et partage toujours, même à distance. La symphonie n°3 m’impressionne. Il était organiste lui-même et a mis l’orgue en avant, mais à la 27′, il l’assemble avec un piano à 4 mains et tout ce petit monde joue avec l’orchestre dans un accord parfait, ce qui donne une belle dimension à son oeuvre à mes yeux. 

 

5- Bach

Je vais radoter, mais il vient lui aussi de la période baroque. J’aime les notes qui « dégringolent » toutes seules et puis j’aime beaucoup l’orgue, pour lequel il a écrit beaucoup d’oeuvres. Les ptit(e)s flûtistes ont tous essayé de jouer sa badinerie exprès pour nous, à nous massacrer les doigts :p 🙂 

 

Est-ce que vous aimez la musique classique ? (si vous êtes arrivés jusqu’à cette question, c’est que oui, normalement 🙂 ) Des compositeurs auxquels vous êtes plus attachés ? 

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Cet instrument qui n’était que la continuité de mon corps

(article écrit d’avance et programmé pour le 20 mai si tout va bien… s’il y a toujours cette petite annotation, c’est que je ne vais pas bien et que j’en suis au point de ne plus arriver à en être désolée de mon retard pour les commentaires que vous laisserez…. je rattraperai tout, dès que possible…)

Ma flûte au milieu des partitions… un autre temps….
Il y a 2 ans, j’avais voulu garder une trace photographique de « nous deux »
Les fameux trous qui sont durs à boucher avec des doigts d’enfant 🙂

Je me revois, du haut de mes 8 ans aux portes ouvertes de l’école de musique de notre ville. On avait la possibilité d’essayer les instruments avant de se décider pour l’enseignement de l’un d’entre eux. J’étais déjà attirée par la flûte traversière, je n’ai jamais su pourquoi, mais c’est la 1ère classe où j’ai demandé à aller. Elle brillait de mille feux et envoyait un son tellement pur et doux, ce sont mes yeux qui ont commencé à briller pour le coup. Et puis je l’ai tenue, le prof m’a montré la base : déposer mes lèvres sur le bec de façon à émettre un son. Et je suis rentrée à la maison en annonçant que je voulais être une petite flûtiste. 

J’avais déjà fait une année de ce qu’on appelle la méthode Orff, dont le but est en gros, faire découvrir à l’enfant ses facultés musicales, la création, l’improvisation, le rythme. J’assommais les copains avec mes baguettes de xylophone, tapais sur les cymbales comme si j’avais utilisé 2 couvercles de cuisine et le triangle était top sauf que le rythme n’a jamais été mon fort mais maintenant encore, du coup, je frappais dessus, fièrement…. avec une mesure de retard… et puis d’avance, histoire de me rattraper le coup suivant :-p 

Et puis l’année suivante, j’ai donc commencé les cours de flûte, le solfège et le chant. Au début, nos 1ères flûtes ont des petits capuchons en plastique qui servent à boucher les trous, pour compléter le travail des petits doigts qui souvent n’arrivent pas à aller assez loin pour bien fermer le trou et du coup, évidemment la note est catastrophique. J’ai appris la respiration ventrale et puis les capuchons se sont retirés au fur et à mesure que je pouvais positionner mieux mes doigts, qui sont d’ailleurs déformés, ceux de la main droite. Ils partent vers la droite comme le suppose la position. Chaque année, on avait des examens pour passer au niveau supérieur. J’étais plus morte que vive, de me voir jouer avec le piano, avec qui je n’étais jamais d’accord, vu le super rythme que je n’avais pas en moi. Par contre, j’avais mes doigts qui couraient vite sur les touches, une jolie vélocité qui compensait un peu et au fil des années, il a fallu commencer à jouer les partitions par coeur et là, j’ai découvert la liberté d’exprimer les notes que je ne lisais plus. Et puis j’ai changé de prof aussi peu de temps après, elle m’a aidée à lâcher tout ce que j’avais en moi, à faire traverser tout ce que j’avais à travers ce tuyau qui ne faisait désormais plus qu’un avec moi. Je jouais timidement, du coup mon souffle était souvent coupé, elle m’a appris à avoir confiance davantage en moi et à ne pas avoir peur de jouer fort, à mettre des nuances, à ressentir les choses. Je suis restée 9 ans dans cette école, gravissant les niveaux. J’ai arrêté l’année avant où certains vont ensuite au conservatoire parce que pour l’école, c’est 10 ans. Ce n’était pas mon objectif déjà et puis je n’aurais pas eu le niveau. Et c’est la période où je suis aussi tombée dans l’anorexie, j’avais du mal à concilier mon BEP à l’époque et la dernière année, j’y passais 4 soirées  par semaine, entre les cours de flûte, le solfège, le chant et le petit orchestre dont je faisais partie. On commençait à faire des drôles de sons avec nos flûtes, les compositeurs contemporains nous faisaient faire de drôles de choses :/ et moi mon style, c’était plutôt le baroque, Vivaldi étant le compositeur que j’ai toujours affectionné davantage. Alors je suis partie, riche de toutes ces années passées…. et je crois que c’est là que j’ai pris le plaisir de jouer bizarrement. J’interprétais le morceau comme je le souhaitais, n’avais plus de pression et je me suis comme libérée. J’ai remis dans ma ptite tête tous les conseils donnés par la prof qui avait éveillé en moi des choses que je ne soupçonnais pas et je laissais tout sortir comme je le souhaitais. 

Il n’y avait que nous qui existions. Moi et ma flûte. Plus je jouais, plus elle se réchauffait de mon air, plus elle prenait de la chaleur, plus le son était lui aussi plein de chaleur au milieu de la douceur. J’y mettais ma vie, de mon oxygène dans ce tube aux touches brillantes de 1000 feux, c’est comme si elle vibrait en elle et en moi, dans mon corps. Le coeur qui s’emballe, le ventre qui se gonfle, le diaphragme qui s’ouvre, le plexus qui s’élargit pour laisser la place aux poumons de prendre à leur tour de l’air et d’un coup, tout cet air emmagasiné est envoyé et les doigts courent sur les touches, avec délicatesse et cette douceur que je voulais tant conserver malgré les mouvements plus rapides, je ne voulais pas la brusquer, sinon je l’aurais ressenti moi aussi dans mon propre corps. Jouer un mouvement rapide justement, ne pas se mettre de pression si les doigts s’emmêlent les pédales, on peut recommencer encore et encore. C’est çà de toute façon, jouer d’un instrument, ne pas avoir peur de répéter sans arrêt les mêmes fragments de phrases qui sont plus compliqués à jouer, comme une gymnaste qui répète les mêmes sauts jusqu’à y arriver. Plus on travaille, plus on y arrive et d’un coup, cette fameuse phrase sort comme si de rien n’était. Arriver au bout et ressentir cette paix en soi, comme la libération d’endorphines. Elle était ma drogue, j’avais besoin d’elle pour me sentir en vie, pour oublier. Durant l’anorexie, j’étais plus fatiguée de souffler dedans, mais je n’ai jamais joué autant. Je me sentais mourir par moments et la chaleur que je dégageais en elle me rappelait que j’étais toujours en vie et qu’elle ne m’abandonnait pas.

Et puis, un jour, je n’ai plus réussi à la tenir, parce que mon bras n’arrivais plus à se mettre correctement où il devait arriver. Et elle est devenue lourde à porter. Et pire, mes doigts de la main droite ne pouvaient plus courir sur les touches… C’était il y a 8 ans… 8 ans qu’elle me manque, que je me sens vide sans elle, que je ne la réchauffe plus en la prenant dans mes bras. C’est comme si on m’avait enlevé une partie de moi-même, vue que je ne faisais qu’une avec elle, il manque un bout à mon corps. J’y pense souvent et quand j’entends quelqu’un en jouer, mon cerveau se souvient de ce que je ressentais, j’imagine le doigté et visuellement je joue, positionne ma bouche et souffle. Dans mes pensées. Dans mes rêves. 

J’ai toujours admiré les personnes qui étaient passionnées par quelque chose, c’est en terminant un livre dont je parlerai, que je m’en suis fait encore une fois la réflexion. Mais je me rends compte que moi-même j’étais une de ces passionnées. Elle a été ma passion durant les 20 années que j’ai réussi à en jouer et elle est restée gravée en moi. 

La morale étant de profiter de vos passions, de ce qui vous fait vibrer au plus profond de votre être, parce qu’on peut vite perdre l’usage de quelque chose qui nous empêche d’en profiter encore… Vivez les pleinement….

Depuis mes 8 ans, j’ai eu un grand Maître à mes côtés (enfin par la pensée du moins ^^ je n’ai malheureusement jamais eu l’occasion de le voir en concert), Jean-Pierre Rampal, le plus grand flûtiste français qui a marqué ses élèves, dont Emmanuel Pahud dont on entend souvent parler si on aime la musique classique, parce qu’il a repris le flambeau de son Maître, celui qui l’a guidé pour être le soliste reconnu qu’il est devenu. Rampal avait cette douceur qui me faisait vibrer autant, on n’entendait jamais qu’il attaquait les notes, tellement c’était subtil et léger. Il avait un son cristallin et pur qui le rendait unique. Du coup, avec mon papa, quand on écoute de la musique ensemble et qu’il y a une flûte, on se regarde et on donnerait nos mains à couper que c’est « notre Jean-Pierre » comme on l’appelle, qui passe à la radio. Cà fait 15 ans aujourd’hui qu’il est mort… J’espère qu’il continue à jouer parmi les anges… 

Je vous laisse en musique…

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Les chansons du moment #1

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Des chansons que je découvre, des albums qui naissent, des chanteu(se)rs que je rencontre au détour de youtube ou de BO de films ou de l’application Shazam qui m’aide à trouver d’où vient ce que j’entends 🙂 

Il y a déjà eu John Legend que j’ai pris plaisir à redécouvrir et à apprécier davantage, surtout avec la chanson « Glory » qui a été écrite pour le film « Selma ». Le combat de Martin Luther King à faire accéder les citoyens noirs au droit de vote et la marche qui a été faite entre les villes de Selma et de Montgomery. Des hommes et des femmes qui se battent pour leur liberté et leurs droits. Et c’est une chanson qui me touche beaucoup du coup. 

« Made to love ». Parce que je pense qu’il y a quelqu’un pour chacun(e) de nous qui nous attend (enfin je l’espère…)

Après, pas du tout dans le même registre, il y a le nouvel album « Blanc » de Julie Zenatti qui est sorti, avec parmi d’autres, ces deux chansons qui me parlent, « Pars sans rien dire » et « Je ne t’en veux pas »… Je suis attachée à cette chanteuse, parce que je l’écoutais beaucoup lors de ma toute première hospitalisation pour anorexie. Je me réfugiais dans la musique, dont ses chansons à elle, qui mettait de la vie, de la bonne humeur dans ma chambre d’hôpital. Des chansons dans lesquelles je me suis aussi souvent retrouvée. Et j’aime son évolution. 17 ans presque après « Notre Dame de Paris » (j’ai écrit Notre Dame de la Garde, je ne sais plus où j’habite lol), elle est toujours là. Peu de jeunes chanteur(se)s peuvent en dire autant, il faut bien le dire…

Et pour finir, Louane. Comme j’arrive souvent après la bataille (enfin j’attends surtout que les films soient dispo en streaming, j’avoue surtout), j’ai vu « La famille Bélier » l’autre jour. Un film qui m’a fait sourire, rire, touchée, pleuré. Et si je ne devais ne retenir qu’une scène de ce film, ce serait celle où elle chante « Je vole » en langue des signes pour ses parents. Du coup, comme je ne m’étais pas vraiment intéressée à Louane jusque là, j’ai voulu en savoir davantage et écouté d’autres chansons d’elle, dont « Maman ». Et j’aime sa fraîcheur et son naturel. J’étais loin d’être comme elle, à 18 ans 🙂

Quelles chansons ou quel(le)s chanteur(se)s sont présents dans vos z’oreilles, ces temps-çi ?

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Découverte musicale – Future World Music

(Article programmé – les réponses risquent de ne pas être immédiates du coup. Désolée d’avance, je reviens vite…)

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Mes goûts musicaux sont très éclectiques, je passe du classique au rock, en passant par la variété française et internationale, la pop, le rap aussi quand les paroles tiennent debout un minimum 🙂 Et il y a aussi ma grande histoire avec tout ce qui est épique, metal symphonique, un genre qui correspond peut-être davantage avec le côté obscur qui fait aussi celle que je suis… j’ai découvert quelques groupes, dont celui-çi, qu’on retrouve en « intro » souvent dans les vidéos que je fais (une tous les 36 du mois)

Qui est Future World Music ? un groupe de musique orchestrale et épique principalement, fondé en 2004, en Californie et qui a une particularité qui me le fait aimer encore davantage, c’est qu’il a composé beaucoup de bande-annonces de films (la musique ayant une grande importance pour moi dans les films, je suis capable d’être attirée par le film juste parce que la musique me plait, si si :/ ) Ils ont travaillé entre autres pour Paramount Pictures, Warner Bros, Universal Pictures, Walt Disney Bros, Buena Vista Home Entertainment.

On peut les retrouver dans les films suivants entre autres : Harry Potter et les reliques de la mort, Je suis une légende, Chaos, Hannibal Lecter, The Kingdom, Superman 3, Dragons, Rebelle, Hancock, les chroniques de Spiderwick, Star Trek

Leurs influences : Hans Zimmer qui est lui-même compositeur de musiques de films tels que Interstellar, Sons of Anarchy, le dernier Batman et a été producteur musical de Divergente. Il y a aussi les Pink Floyd, Queen, Genesis, The Beatles, Mozart, Beethoven. Ils sont eux-mêmes très eclectiques dans ce qu’ils font du coup.

Je vous laisse en musique, ils ont fait 13 albums donc il y a de quoi trouver sur youtube, si vous avez envie d’en écouter davantage 🙂 Bonne écoute, ne vous arrêtez pas à un seul morceau, comme pour beaucoup d’artistes, on n’aime pas forcément tout. De mon côté, quand je les écoute, ils me mettent de la vie en moi, parfois j’imagine les films et leur grandeur et je m’incorpore au décor. Il y a une force qui s’en dégage (en même temps, vus certains films c’est compréhensif ^^)

« Aqua Vitae »

« Once in a Lifetime »

« World of Dreams »

« Quest of Freedom »

« Coming Home »

« Oceans of Time »

« Anthem of the World »

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L’effet Woodkid

J’ai découvert cet artiste, à « Danse avec les stars », le ma-gni-faikkkeee Brahim, torse nu, qui dansait sur la chanson « Iron ».. wouah… sa danse, la musique, tout m’a plu et pour savoir à qui je devais ce super titre, j’ai sorti ma super application iphone Shazam (très pratique, au passage) et ohh magie, elle m’a indiquée qui c’était… ni une ni deux, j’ai tout quitté (bon sauf Brahim, évidemment !! J’avais un oeil sur lui, faut pas exagérer quand même :-p) et je me suis installée sur youtube, et là, j’ai découvert plein de titres. J’ai partagé une chanson sur fb et le lendemain, une copinette m’avait mis le lien vers un de ces concerts, en me disant qu’elle l’écoutait quand elle n’allait pas bien. J’ai vite compris pourquoi… 1h avec lui… un type super sympa et très simple. Un pur bonheur pour mes oreilles.

Qui se cache derrière Woodkid… j’ai cru qu’il était anglais, je me suis plantée, déjà, il est lyonnais et s’appelle en fait Yoann Lemoine et est connu pour avoir réalisé les clips « born to die » de Lana Del Rey, « teenage dream » de Katy Perry, ainsi que des clips de Rihanna, Moby, Yelle…

Il est aussi connu pour la campagne lancée sur youtube, pour son investissement pour le combat contre le sida.

Sa voix m’apaise, me calme, je ne saurais pas expliquer pourquoi… les mots liés d’une façon douce, je ne sais pas. Je vous laisse avec lui et certaines de ses chansons 🙂 Bonne écoute si vous le découvrez, tout comme moi.

http://www.youtube.com/watch?v=KFa7qVIjf88

« Iron »

http://www.youtube.com/watch?v=_C2x4CtSLvI

« Where I live »

http://www.youtube.com/watch?v=m9SwBEQ_Ooo

« I love you »

http://www.youtube.com/watch?v=KQu8FOjJXdI

« The golden age »

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Etre riche de sa croyance

Je vous vois derrière vos écrans en lisant ce titre, vous devez vous dire « qu’est ce qu’elle nous fait PtiteDelph, elle va nous parler de religion ?? Oh mon Dieu (c’est le cas de le dire), vite fuyons ! qu’est ce qu’elle va encore nous sortir ! » Mais non, restez, ne vous inquiétez pas 🙂
 
Tout à l’heure, sur TF1, en attendant Secret Story, pour me sentir plus intelligente humhum (mais si, mais si, on peut parler de Secret Story et de religion dans un même article), ils présentaient une nouvelle chanson et c’était tellement doux, que je suis restée à regarder le clip pour voir le titre à la fin. C’était Nathasha St-Pier et 2 autres chanteuses, qui chantaient « Rappelle toi »de l’album « Thérèse, Vivre d’amour ». Il est sorti en avril dernier et est composé de poèmes et de cantiques, laissés par Sainte Thérèse de Lisieux et mis en musique par Grégoire. 
 
Cette chanson m’a touchée, alors j’ai cavalé sur Youtube pour écouter les autres chansons et cette douceur des voix, les poèmes mis en musique, imaginer cette Sainte si connue avoir écrit tout çà, au 19ème siècle, m’a rappelée des souvenirs.
 
Je suis née dans une famille catholique, croyante et pratiquante (quand je parle famille, je compte les 7 frères et soeurs de mon papa et toute la clique qui va avec). Tellement pratiquants, que j’ai une tante religieuse, qui s’est occupée jusqu’il y a quelques années, de malades, puisque c’était un hôpital religieux (je ne trouve plus le terme, bref… les hospices de Beaune en gros lol). Un cousin prêtre. Une tante qui a laissé son mari, le frère de mon père donc, s’occuper de leurs 5 enfants quand ils étaient plus jeunes, parce que Mme préférait aller s’occuper de la paroisse que de ses mômes. C’est très pratiquant tout çà hein… la famille a fini par être coupée en 2. Les pratiquants et les autres. Moi j’ai été élevée dans le minimum de la croyance on va dire. Je n’ai pas voulu faire ni ma confirmation, ni ma 2nde communion. Mes parents sont à 1000 lieues de tout çà. Toute petite, je devais avoir 8 ans, je débarque chez une copine qui habitait le même immeuble que moi, les mains remplis de gâteaux. Toute contente, je lui demande si elle en veut. Sa mère qui hurle à travers tout l’appart « naaannnn c’est le carèmeeeeee », j’avais honte de ma si faible croyance et pratique. Ouhla pardon, j’irai me confesser pour ce péché et cracher mes biscuits. Et je ferai un jour de carème en plus (alors qu’on ne le faisait pas, mon père était le 1er à manger du chocolat « si tatie Claire (devenue Soeur Marie Ignace) t’avait vue, petit papa, t’aurais eu droit à une remontée de bretelles dans les règles 🙂 »
 
Avec mes mots et ma fameuse ironie légendaire, on peut facilement comprendre où je me situe dans la croyance. Pas pratiquante et pas croyante, du moins, je crois à ce qu’il me plait de vouloir croire… J’ai arrêté d’être croyante le jour où mon frère est né (je vous laisse aller voir mon « draw my life » sur youtube, vous saurez pourquoi. Dieu, ce jour là, portait un prénom, un nom et était professeur et chirurgien spécialisé dans les grandes opérations sur nourrissons, c’était lui mon Dieu, pas celui d’en haut…). Je respecte évidemment les personnes qui croient, si çà peut aider à vivre, tant qu’elles ne m’imposent rien. Et avec une religieuse, un prêtre et une paroissienne hors du commun, il y a eu des tensions… Bizarrement, quand je suis tombée malade, ce ne sont pas eux qui ont demandé de mes nouvelles. Ce sont les non pratiquants qui ont été présents pour leur nièce. Bref…
 
Dans le peu de culture que j’ai, dans le domaine, l’histoire de Sainte Thérèse m’a marquée. Je lisais une sorte d’album illustré et je n’arrivais pas à m’en séparer, comme si j’avais besoin d’elle. Je devais avoir 14 ans environ. Je commençais à connaître le mot « aimer un garçon » et j’étais sur un nuage. Et en lisant sa vie dans les grandes lignes, je me suis dit « elle aime Dieu, autant que moi j’aime M. finalement ». Cette flamme en elle qui la faisait vivre, je la comprenais, elle était aussi en moi finalement. J’ai aimé cette personne qu’elle représentait. Humble, au service des autres, elle s’est donnée à corps perdu pour les vivants et pour Lui. Elle se disait « petite ». Mot qui avait une raison précise pour elle. Petite Thérèse…  Un amour inconditionnel qui la faisait s’enflammer pour Lui. Donner sans mesure… Elle a laissé des écrits et traverse les siècles, sert de référence. Elle a marqué les croyants et les non croyants. Pas pour le côté religieux forcément, mais pour la jeune femme qu’elle était. Je pense qu’à 24 ans, à sa mort, elle avait compris davantage qu’une Sainte qui aurait eu 3x son âge… Elle était riche de ses croyances. Cette flamme, elle espérait qu’elle continuerait à vivre après sa disparition, une fois qu’elle l’aurait rejoint. 
 
Et cet album qui la fait vivre à travers ce qu’elle a laissé, c’est peut-être bête, mais çà me touche. Je vous laisse en musique et en compagnie de « petite Thérèse » qui avait une âme si grande…
 
 
Natasha St-Pier et Anggun, « Vivre d’amour »
 
 
Natasha St-Pier, « Jeter des fleurs »
 
 
Natasha St-Pier, Elisa Tovatti, Sonia Lacen »Rappelle toi » (le clip est très joli, je n’ai pas pu le mettre, mais il est sur youtube)
 
Voilà, c’est l’album de la semaine que j’ai pris plaisir à découvrir et à écouter. Au-delà de la religion, c’était une jeune femme avec une grandeur d’âme d’une immense richesse. Et de son Histoire, c’est çà qui m’a toujours touchée… Moi la non croyante… Qui ressent parfois le besoin de monter à Notre Dame de la Garde pas pour prier, mais juste m’asseoir, réfléchir, avoir une pensée pour les disparus, brûler un cierge, symbole que la flamme ne s’arrêtera jamais de brûler en moi, pour eux. Juste me recueillir, devant mes propres croyances. On a voulu enlever mes croyances ce w-e et çà été le drame. Ils ont voulu me supprimer quelque chose qui me rassure de croire… et çà m’a déstabilisée et rendue encore plus mal, j’ai dû faire comme si je n’avais rien entendu. Chacun a les siennes et c’est essentiel de les laisser là où elles sont importantes pour la personne. Fausse ou vraie, c’est relatif… Sainte Thérèse avait sa croyance, elle s’est toujours battue pour la conserver, ce n’était pas pour rien… Elle avait besoin de croire en son Amour à Lui, pour vivre et sa croyance faisait d’elle la personne qu’elle était, comme les miennes font celles que je suis…
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Etre riche de sa croyance

Je vous vois derrière vos écrans en lisant ce titre, vous devez vous dire « qu’est ce qu’elle nous fait PtiteDelph, elle va nous parler de religion ?? Oh mon Dieu (c’est le cas de le dire), vite fuyons ! qu’est ce qu’elle va encore nous sortir ! » Mais non, restez, ne vous inquiétez pas 🙂
 
Tout à l’heure, sur TF1, en attendant Secret Story, pour me sentir plus intelligente humhum (mais si, mais si, on peut parler de Secret Story et de religion dans un même article), ils présentaient une nouvelle chanson et c’était tellement doux, que je suis restée à regarder le clip pour voir le titre à la fin. C’était Nathasha St-Pier et 2 autres chanteuses, qui chantaient « Rappelle toi »de l’album « Thérèse, Vivre d’amour ». Il est sorti en avril dernier et est composé de poèmes et de cantiques, laissés par Sainte Thérèse de Lisieux et mis en musique par Grégoire. 
 
Cette chanson m’a touchée, alors j’ai cavalé sur Youtube pour écouter les autres chansons et cette douceur des voix, les poèmes mis en musique, imaginer cette Sainte si connue avoir écrit tout çà, au 19ème siècle, m’a rappelée des souvenirs.
 
Je suis née dans une famille catholique, croyante et pratiquante (quand je parle famille, je compte les 7 frères et soeurs de mon papa et toute la clique qui va avec). Tellement pratiquants, que j’ai une tante religieuse, qui s’est occupée jusqu’il y a quelques années, de malades, puisque c’était un hôpital religieux (je ne trouve plus le terme, bref… les hospices de Beaune en gros lol). Un cousin prêtre. Une tante qui a laissé son mari, le frère de mon père donc, s’occuper de leurs 5 enfants quand ils étaient plus jeunes, parce que Mme préférait aller s’occuper de la paroisse que de ses mômes. C’est très pratiquant tout çà hein… la famille a fini par être coupée en 2. Les pratiquants et les autres. Moi j’ai été élevée dans le minimum de la croyance on va dire. Je n’ai pas voulu faire ni ma confirmation, ni ma 2nde communion. Mes parents sont à 1000 lieues de tout çà. Toute petite, je devais avoir 8 ans, je débarque chez une copine qui habitait le même immeuble que moi, les mains remplis de gâteaux. Toute contente, je lui demande si elle en veut. Sa mère qui hurle à travers tout l’appart « naaannnn c’est le carèmeeeeee », j’avais honte de ma si faible croyance et pratique. Ouhla pardon, j’irai me confesser pour ce péché et cracher mes biscuits. Et je ferai un jour de carème en plus (alors qu’on ne le faisait pas, mon père était le 1er à manger du chocolat « si tatie Claire (devenue Soeur Marie Ignace) t’avait vue, petit papa, t’aurais eu droit à une remontée de bretelles dans les règles 🙂 »
 
Avec mes mots et ma fameuse ironie légendaire, on peut facilement comprendre où je me situe dans la croyance. Pas pratiquante et pas croyante, du moins, je crois à ce qu’il me plait de vouloir croire… J’ai arrêté d’être croyante le jour où mon frère est né (je vous laisse aller voir mon « draw my life » sur youtube, vous saurez pourquoi. Dieu, ce jour là, portait un prénom, un nom et était professeur et chirurgien spécialisé dans les grandes opérations sur nourrissons, c’était lui mon Dieu, pas celui d’en haut…). Je respecte évidemment les personnes qui croient, si çà peut aider à vivre, tant qu’elles ne m’imposent rien. Et avec une religieuse, un prêtre et une paroissienne hors du commun, il y a eu des tensions… Bizarrement, quand je suis tombée malade, ce ne sont pas eux qui ont demandé de mes nouvelles. Ce sont les non pratiquants qui ont été présents pour leur nièce. Bref…
 
Dans le peu de culture que j’ai, dans le domaine, l’histoire de Sainte Thérèse m’a marquée. Je lisais une sorte d’album illustré et je n’arrivais pas à m’en séparer, comme si j’avais besoin d’elle. Je devais avoir 14 ans environ. Je commençais à connaître le mot « aimer un garçon » et j’étais sur un nuage. Et en lisant sa vie dans les grandes lignes, je me suis dit « elle aime Dieu, autant que moi j’aime M. finalement ». Cette flamme en elle qui la faisait vivre, je la comprenais, elle était aussi en moi finalement. J’ai aimé cette personne qu’elle représentait. Humble, au service des autres, elle s’est donnée à corps perdu pour les vivants et pour Lui. Elle se disait « petite ». Mot qui avait une raison précise pour elle. Petite Thérèse…  Un amour inconditionnel qui la faisait s’enflammer pour Lui. Donner sans mesure… Elle a laissé des écrits et traverse les siècles, sert de référence. Elle a marqué les croyants et les non croyants. Pas pour le côté religieux forcément, mais pour la jeune femme qu’elle était. Je pense qu’à 24 ans, à sa mort, elle avait compris davantage qu’une Sainte qui aurait eu 3x son âge… Elle était riche de ses croyances. Cette flamme, elle espérait qu’elle continuerait à vivre après sa disparition, une fois qu’elle l’aurait rejoint. 
 
Et cet album qui la fait vivre à travers ce qu’elle a laissé, c’est peut-être bête, mais çà me touche. Je vous laisse en musique et en compagnie de « petite Thérèse » qui avait une âme si grande…
 
 
Natasha St-Pier et Anggun, « Vivre d’amour »
 
 
Natasha St-Pier, « Jeter des fleurs »
 
 
Natasha St-Pier, Elisa Tovatti, Sonia Lacen »Rappelle toi » (le clip est très joli, je n’ai pas pu le mettre, mais il est sur youtube)
 
Voilà, c’est l’album de la semaine que j’ai pris plaisir à découvrir et à écouter. Au-delà de la religion, c’était une jeune femme avec une grandeur d’âme d’une immense richesse. Et de son Histoire, c’est çà qui m’a toujours touchée… Moi la non croyante… Qui ressent parfois le besoin de monter à Notre Dame de la Garde pas pour prier, mais juste m’asseoir, réfléchir, avoir une pensée pour les disparus, brûler un cierge, symbole que la flamme ne s’arrêtera jamais de brûler en moi, pour eux. Juste me recueillir, devant mes propres croyances. On a voulu enlever mes croyances ce w-e et çà été le drame. Ils ont voulu me supprimer quelque chose qui me rassure de croire… et çà m’a déstabilisée et rendue encore plus mal, j’ai dû faire comme si je n’avais rien entendu. Chacun a les siennes et c’est essentiel de les laisser là où elles sont importantes pour la personne. Fausse ou vraie, c’est relatif… Sainte Thérèse avait sa croyance, elle s’est toujours battue pour la conserver, ce n’était pas pour rien… Elle avait besoin de croire en son Amour à Lui, pour vivre et sa croyance faisait d’elle la personne qu’elle était, comme les miennes font celles que je suis…
Coin musique

Tag 1 : pour un peu de musique…

Pour répondre au tag de mon ptit Caramel mou et rempli de douceur :-), j’ai fait une petite sélection de chansons que j’écoute. C’était difficile, parce que non seulement j’aime toutes sortes de styles (je n’écoute jamais de blues ou de jazz par contre, parce que ce n’est pas ma tasse de thé), mais en plus, parmi les groupes ou chanteurs/chanteuses, c’était coton de choisir LA chanson. Donc voilà un très gros aperçu de mes goûts :

Le groupe dont je ne me lasse jamais. Fidèle depuis bien 3 ans. L’alliance rock/douceur dans la voix m’a fait tomber sous le charme. J’aime tout ce qu’ils font et ils ne lésinent pas sur leurs clips. Bref, je suis fan, et j’essaie de convaincre quelqu’un de venir avec moi, les voir en concert à Paris, mi-Juin. Pourtant, je ne suis pas fan de concerts, mais eux, c’est un rêve de les voir sur scène. Cette chanson est celle du moment.

Fan de Freddie Mercury. J’ai commencé à écouter Queen en 1996, au début de l’anorexie, je mettais mon casque à fond sur les oreilles, pour trouver un refuge dans leurs chansons. Toujours la même émotion et les mêmes frissons en écoutant cette chanson, un peu plus particulièrement…

J’aime beaucoup ce que fait Alicia Keys, mais celle-çi a fait tilt quand je l’ai entendue la 1ère fois ^_^ Un coup de coeur, en gros

Je les ai découverts avec la plus magnifique déclaration et qui donne à réfléchir avec leur tube « Avant qu’elle parte » (c’est ma chouchou venant d’eux, mais je pense que tout le monde connait, alors j’en ai choisi une autre pour donner un autre aperçu. Je sais qu’ils viennent de loin et c’est aussi pour cette raison que leurs textes me touchent.

Ahh Soprano… je l’adore et si je savais où il habitait à Marseille, je me mettrais devant sa porte pour qu’il me serre très fort dans ses bras et avoir une photo avec lui.. pourquoi ?… parce qu’on a (eu… pour lui) un combat commun déjà… et il arrive à m’émouvoir jusqu’à pleurer comme une madeleine, mais tout en me donnant de la force à travers ses paroles et son histoire.. Si je n’avais qu’une chanson à choisir, ce serait celle-çi, Hiro, parce qu’ « On ne peut vivre que le présent… »

Elle est symbolique pour moi pour une certaine raison, je ne dirai pas laquelle… Si on me connait assez, on peut s’en douter un peu. J.J Goldman (il a été bien présent durant mes hospitalisations, avec toutes ses chansons…) Il habite à Marseille aussi, dans un très beau quartier qui surplombe la mer et la Corniche, en partie. Pareil que Soprano, j’accourrais 🙂

Si je pouvais encore aller en boite, j’aimerais qu’elle y soit et bouger dans tous les sens dessus

Un groupe de Metal Symphonique que je trouve « touchant ». Je conseille de l’écouter en entier, parce qu’elle est nuancée et c’est ce que j’aime. Celle-çi, c’est une sorte de conte, qui me donne parfois les larmes aux yeux, dans la 2nde partie de la chanson.

Un groupe de Metal Symphonique aussi, que j’écoute depuis bien longtemps aussi. Ils font partie de mes préférés. Un petit faible pour leur chanson « Say my name » qui m’a permis de les découvrir. Une chanteuse a fait partie du groupe précédent d’ailleurs, c’est un peu une suite

Quand j’ai besoin de douceur, elle aussi m’a bien accompagnée dans certains moments de ma vie…

Je ne pouvais pas conclure ce tag sans musique classique. J’ai passé 9 ans dans une école de musique en parallèle de mes études, je joue de la flûte traversière depuis mes 8 ans. Mon plus grand regret est de ne plus pouvoir la tenir 😦 Ayant un faible plus particulier pour l’époque baroque et l’Italie, je ne pouvais qu’avoir Vivaldi comme compositeur fétiche 🙂 Je me retrouve dans ses compositions.. dans un même mouvement, il est calme et d’un coup, il part en cacahuètes sans qu’on s’y attende lol

Voilà une mini sélection. D’autres artistes que j’écoute pas mal aussi : Ben l’oncle Soul, Adèle, Birdy, Dire Straits, Scorpions, Oasis, Genesis, Phil Collins, Taïro, Amel Bent, Garou, Daniel Balavoine, Michel Berger, Grand corps malade, Toto, la musique new age, Santana, John Lennon, les Beatles, Christina Aguilera, Coldplay, The Rasmus, le flamenco etc….

Et voilà mon ptit caramel mou 🙂 Merci d’avoir pensé à moi pour ce tag et pour ton ptit mot qui m’a touchée 😉 Je ne tague personne en particulier, je laisse le choix à celles et ceux que çà intéresse 🙂

Coin musique

Shayne Ward


Shayne Ward, chanteur pop (je vous présente un peu le style de mec qui me plairait un peu davantage que d’autres, par la même occasion :P)).

Je suis assez éclectique dans mes goûts musicaux et fonctionne à l’humeur. En général, d’ailleurs, quand je suis triste, j’enfonce le clou, en écoutant, par exemple le « Puisque tu pars » de J.J. Goldman, histoire de pleurer encore davantage hum… Je n’ai jamais réussi à me faire écouter des trucs qui étaient l’inverse de ce que je ressentais, pour essayer de me remonter le moral. Suis bizarre non ?… Rassurez moi, certaines font pareil hein ? (demande t’elle timidement pour se sentir moins seule :-s) ^-^


Aujourd’hui, j’ai été d’humeur un peu entre deux, pas un grand moral, fatiguée, douloureuse, à me sentir seule physiquement, parce que chacun a sa vie, il y avait du soleil, c’est normal que les ami(e)s qui sont restés à mes côtés aient envie de profiter, alors je les laisse et me fais petite. Mais j’avoue que moralement, je le vis un peu mal….

Pour en revenir à la musique, ce soir, je suis plutôt penchée sur Shayne Ward (enfin je me comprends hihi, on ne s’imagine pas à faire une position penchée du Kamasutra, je vous voir venir avec vos gros sabots ^^). Je le trouve mignon avec son regard comme je les aime, mais il est un peu jeune, je préfère ceux qui sont plus âgés. Bon, çà fera l’objet d’un autre article, hein, parce que là je parle de tout, sauf de ce que je voulais dire au début et parler musique, çà va pas du tout du tout si je m’égare de la sorte, non mais. Allez Ptite Delph, on se remet dans le droit chemin et on arrête de loucher sur les yeux de ce coco qui est né en 1984 🙂

J’aime son timbre de voix qui, elle, est assez chaude, il semble doux, tout en pouvant donner d’autres intonations quand il chante plus grave. Je ne le suis pas sur toutes ces chansons, mais j’apprécie celles qui ressemblent en gros, à celles que je vous mettrai. 

Je vous souhaite un bon samedi soir, risque de vous saouler un peu plus tard avec un autre article. Les portes de Secret Story s’étant fermées définitivement hier, je vous ouvre les portes de mon petit chez moi.

« No Promises ». Ma petite préférée, c’est avec celle-çi que je l’ai découvert, il me semble, d’ailleurs

« Someone to love », que je n’arrive pas à mettre pff. On me parle toujours de la taille de la vidéo, c’est nul… (on ne peut mettre que des vidéos de youtube sur blogspot d’ailleurs ?? C’est un peu limité :-s Je viens de découvrir comment mettre un lien, donc normalement il suffira de cliquer dessus… Alléluia… D’ailleurs, il faudra que je vous parle de mon adoration pour Jeff Buckley et son Allelujah qui me donne des frissons et me transforme en toutes les madeleines et fontaines réunies de France bouhou… mais j’en suis fan, c’est ainsi…

« Stand by me », même souci que pour la chanson précédente… Je fais une piètre blogueuse, ce soir, avec un post tout décousu qui parle de tout et n’importe quoi… Je crois que moi aussi, j’ai besoin de Someone to love, d’où le fait que les chansons de Shayne tournent en boucle et me rendent mélancolique… 

Bon dimanche. Demain, étant donné que les portes de la maison de Secret Story sont définitivement fermées, je vous ouvrirai les portes de mon petit chez moi. Bisous et prenez soin de vous, c’est important…
Coin musique

Within Temptation

Un groupe pour lequel j’ai un gros faible, qui a été créé autour des années 1995, si mes souvenirs sont bons. Les membres ont régulièrement changés, mais le groupe est toujours debout. Ils sont néerlandais et leurs chansons tournent autour du métal symphonique, voire gothique par moments. Des textes très sombres autour de très belles ballades aussi. C’est finalement varié leurs compositions. Ils correspondent un peu à celle que je suis, c’est pour cette raison, sans doute, que j’aime ce qu’ils font. Le blanc et le noir… Ils ont pas mal d’albums à leur actif, je suis sûre que vous y trouverez votre bonheur dans l’une de leurs chansons, de mon côté, je vous en mets 3 (celles que je voulais mettre ne passent pas, petit souci de taille apparemment grumpf…), pour vous les faire découvrir et donner peut-être envie d’aller voir autre chose d’eux.

On s’étonne souvent quand je dis que le métal (j’ai une préférence pour le symphonique, mais j’écoute aussi du pur) fait partie de la musique que j’écoute. Apparemment, je semble trop douce, pour çà…. Décidemment, les apparences halala…… Quand je vais très mal, je me mets les écouteurs sur les oreilles, mets la chanson la plus « métallisée », à fond (je sais, c’est pas bon pour les z’oreilles blablabla ^^) et je laisse les sons aussi violents que mes pensées investir mon corps et mon esprit, comme s’ils pouvaient prendre la place de mes idées sombres et faire taire cette colère en moi. 

« Say my name ». Ma préférée, soft. Celle grâce à laquelle j’ai découvert ce groupe. Il y a des chansons qu’on entend dans des circonstances un peu spéciales et qui font qu’on ne s’en lassent jamais. Elles font partie de notre vécu en quelque sorte.

« Pale »

« Hand of Sorrow »